Et de trois pour le groupe islandais! Moins Folk et plus Rock mais toujours très Pop Of Monsters and Men joue beaucoup avec les harmonies vocals sur ce Fever Dream. Léger et majoritairement joyeux, le groupe y prend peu de risque mais livre la marchandise. Si les chansons, qui s’emboîtent l’une à l’autre, peuvent se ressembler, elles forment surtout une entité cohérente.
Sur Armageddon, le groupe Rock canadien poursuit, sans prétention, son attaque avec dix chansons livrées comme une tonne de briques! Un Hard Rock infusé du Blues interprété avec aplomb. Son énergie contagieuse compense aisément ce qui pourrait être reçu comme un manque d’originalité. Ainsi notre plaisir prend de l’ampleur à chaque écoute.
C’est un Poste d’écoute purement musical qui vous attend à l’écoute de cette 449e édition alors que j’y soulignais l’arrivée des vacances pour plusieurs d’entre nous avec les volets #CEstLeTempsDesVacances, #SurLaRoute, #FaireLaFete et #VisiteAuZoo. Éparpillé à l’intérieur de ces quatre volets, vous retrouverai les nouveautés musicales de mon invité de la semaine dernière: Ada Lea (What We Say in Private), de Beyoncé (The Lion King: The Gift), des Flaming Lips (King’s Mouth) et de Jérôme 50 (Le Camp de vacances de Jérôme 49).
Ce 449e Poste d’écoute est maintenant disponible dans son intégralité via le site web du FM 103,3, bonne écoute et bonne vacances!
C’est à une grande fête que Beyoncé convie ses amis Jay-Z, Blue Ivy Carter, Childish Gambino, Pharrell Williams, Kendrick Lamar, Tekno, Yemi Alade, Mr Eazi, Burni Boy, Salatiel, SAINt JHN, Wizkid, Tiwa Savage, Shatta Wale, Major Lazer, Nija, Tierra Whack, Moonchild Sanelly, 070 Shake, et Jessie Reyez Afin de célébrer avec aplomb son amour envers la musique africaine. Ponctué de nombreuses interlude présentant des dialogue du film, The Lion King: The Gift est rythmé et mélodique. Varié tout en gardant une certaine homogénéité, l’œuvre démontre que plaisir peut rimer avec maturité et intelligence.
On peut toujours compter sur Obey the Brave pour une bonne claque sur la gueule. Avec Balance on parle plutôt d’un solide coup de poing! Quelle énergie! Les voix, gutturale comme en puissance, le martèlement du drum et les rythmes bétons de guitares, tout y est. Balance est peut-être court (moins de 30 minutes) mais on en sort autant « knocké » que revitalisé. Si toutes les pièces se ressemblent un peu, la réalisation donne énormément de tonus à l’œuvre déjà très rentre-dedans.
L’artiste montréalaise Ada Lea (aka Alexandra Levy), présente son premier album What We Say in Private, elle y parle d’amour, d’espoir, de deuil et d’abandon. Pas de doute, il s’agit bien d’une œuvre de contrastes. Si il puisse ses racines dans la musique Pop, What We Say in Private demeure loin des clichés de ce genre souvent associé à la légèreté. Ada Lea est sérieuse et ne lésine pas sur les détails afin d’explorer la féminité. What We Say in Private découle autant d’une démarche artistique que de l’émancipation. Véritable construction sonore (avec bruits ambiants par moments) documentant des émotions réelles et ressentis.
Sur King’s Mouth, 15e album des Flaming Lips et qui a la base devait être un solo de Wayne Coyne, s’avère être l’œuvre la plus enjoué du groupe depuis Yoshimi Battles The Pink Robots sorti en 2002. Il s’en dégage une atmosphère cinématographique et théâtrale dût en partie à la narration de Mick Jones des Clash. L’album doit aussi sont léger côté joyeux au fait que King’s Mouth découle du livre pour enfant du même nom qu’a illustré Coyne. Ains, les chansons demeurent moins complexes sans par contre être enfantin. Après avoir cauchemarder en teints foncés durant une dizaine d’années, il est fort agréable de rêver en couleurs.
C’est avec un album arrivant en même temps que les canicules, accompagné d’une talentueuse chorale d’enfants et jouant avec le répertoire « camp de jours » que Jérôme 50 (ou 49?) vient nous surprendre. Tantôt très enfantin (Si tu aimes le soleil), tantôt plus expérimental (Un pauvre enfant) l’œuvre de décliné en deux tomes (Moniteur (+salé) / Campeurs (+propre)). Fait « à la bonne franquette » il faut prendre Le Camp de vacances de Jérôme 49 pour ce qu’il l’est… une bonne rigolade!
Étoile montante de la musique Pop Montréalaise, Ada Lea était avec moi. mardi dernier afin de nous présenter son premier album What We Say in Private. Une oeuvre d’amour, d’espoir, de deuil, d’abandon et de contraste. Une rencontre que vous pouvez rattraper via ma chaîne YouTube.
De plus, j’ai fait un très bref survol des premiers albums attendus à l’automne ainsi que présenté le volet « projet secondaire » avec des artistes qui se commettent sur plusieurs projets pour notre plus grande surprise et parfois aussi notre plus grand plaisir.
Ce 449e Poste d’écoute est, quant à lui, disponible dans son intégralité via le site web du FM 103,3, bonne écoute!
Les festivals de Jazz et les Francos étant maintenant derrière nous, il était temps de faire un peu de rattrapage sur les nombreuses sorties musicales ayant eues lieu aux cours des dernières semaines. Ainsi, je suis revenu sur les parutions de Jérôme Minière (Une clairière), de Patrick Krief (Dovetale), de Hein Cooper (Underneath it All), de Foreign Diplomats (Monami), de Bruce Springsteen (Western Stars), des Raconteurs (Help Us Stranger), des Black Keys (« Let’s Rock »), de Thom Yorke (Anima) et plusieurs autres…
De plus, j’ai eu le plaisir de recevoir François Roy – qui a aussi lancé un nouvel album durant les dernières semaines, l’excellent À l’abris de la tempête – pour un 30 minutes passionnant avec un artiste à découvrir! Une rencontre disponible… en rattrapage sur ma chaîne YouTube!
Ce 448e Poste d’écoute est maintenant disponible en intégralité sur le site web du
FM 103,3, bonne écoute!
Pas tout à fait un an après la parution de Modern Pain, Part I, André Papanicolaou offre la deuxième partie plus « straightforward » fait de Pop/Rock mettant en relief ses talents de compositeur. Rassembleuses et porteuses d’espoir, les chansons de ce Part II sont douces et apaisantes.
Frédéric Bussières - Parapet Musical 